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SOMMAIRE




Origines de la soci�t�

Construction des premiers moteurs � gaz et des premiers moteurs � p�trole

Cr�ation de la premi�re voiture automobile

Cr�ation des diff�rentes dispositions adopt�es maintenant par tous les constructeurs

Cons�cration dans les grandes �preuves sportives

Choix des mat�riaux - m�thodes d'essai

Nombreux types de voitures r�pondant aux besoins vari�s de la client�le

Nouveaut�s pr�sentes au Salon de 1902

Importance de la Soci�t� Panhard et Levassor

Brevets principaux pris par la Soci�t� Anonyme des Anciens �tablissements Panhard Levassor
 
 

Le catalogue Panhard & Levassor 1892 
Le catalogue 1892  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 

La voiturette KREBS 
  La voiture l�g�re de KREBS
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 

PL Laudaulet 1898 
Laudaulet 1898  
  
  
  
  
  
  
  
 

La première voiture de course de C.S. ROLLS, une PL 8CV en 1898 
 La premi�re voiture de course de C.S. ROLLS : une PL 8CV en 1898 
  
  
  
  
  
 

Panhard Levassor : les courses avec Krebs
Les courses avec Krebs  
  
  
  
 

Albums photo de Krebs : voitures de course 
Albums photo de Krebs : les voitures de course  
  
  
  
  
  
  
  
  
 

PL : les machines à bois 1906 
Les machines � bois 1906  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 

Essai d'hélicoptère au CNAM en 1913 
  Essai d'h�licopt�re au CNAM en 1913
  
  
  
  
  
  
  
 

Le personnel : la Société de Secours Mutuels 1899 
La Soci�t� de Secours Mutuels 1899  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 

Panhard et Levassor au Japon en 1898 
P&L au Japon en 1898  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 

Panhard et Levassor : Le Sans-Soupapes 
Le moteur Sans-Soupapes  
  
  
  
  
  
  
  
 

Les courses de bateaux

Les courses de bateaux























Le catalogue P&L 1914 
Le catalogue P&L 1914
 









L'usine rue des 3 raisinets à Reims en 1917 
Reims en 1917  
  
  
 
Panhard et Levassor 35cv 8cyl SS - 1926 
P&L "lame de rasoir"
35cv 8cyl SS - 1926
 
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 
Automobile - description technique : Encyclopédie ATLAS 1999
Encyclop�die ATLAS 1999
PANHARD & LEVASSOR 1902
Note �crite de la main de Krebs
Archives Panhard

Note sur l'origine de la Soci�t� Anonyme des Anciens �tablissements Panhard et Levassor (Salon 1902)
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Origines de la soci�t�               La Soci�t� Anonyme des Anciens �tablissements Panhard et Levassor recueillait en 1897 l'h�ritage d'une Maison dont les �tats de service dans la m�canique �taient d�j� brillants.
            C'est P�rin, l'inventeur de la scie � ruban, qui cr�a, vers 1846, la Maison qui devait �tre plus tard la Soci�t� Panhard et Levassor. Son atelier �tait consacr� � la construction de la machine � bois et en particulier de la scie dont il �tait l'inventeur.
            La raison sociale de la Maison a �t� :
             en 1846      P�rin
                  1867      P�rin Panhard
                  1872      P�rin Panhard et Cie
                  1886      Panhard et Levassor
                  1897      Soci�t� Anonyme des Anciens �tablissements Panhard et Levassor.

            D�s l'origine, la Maison n'a cess� de s'attacher � obtenir la fabrication la plus irr�prochable, condition indispensable pour les machines � bois qui comportent g�n�ralement des pi�ces anim�es de mouvements tr�s rapides.

Construction des premiers moteurs � gaz et des premiers moteurs � p�trole

            Ces habitudes de pr�cision dans le travail, ont amen� cette Maison � s'occuper de la construction des moteurs � gaz d�s les ann�es 1875. Bient�t, apr�s 1886, elle entreprenait la construction des moteurs � essence dont elle avait achet� les brevets � M. Daimler de Carnstadt.

Cr�ation de la premi�re voiture automobile

            En 1891 la Maison Panhard r�alisait la premi�re voiture automobile mue par moteur � p�trole, gr�ce � la pers�v�rante �nergie de l'un de ses chefs, le regrett� �mile Levassor. Elle peut donc �tre consid�r�e � juste titre comme le berceau de l'industrie automobile.

Cr�ation des diff�rentes dispositions adopt�es maintenant par tous les constructeurs

            Depuis que la premi�re voiture automobile est sortie des ateliers Panhard Levassor, chaque ann�e a �t� marqu�e par de nouveaux progr�s, dont l'ensemble, adopt� par tous les constructeurs, constitue le type qui est universellement connu sous le nom de type fran�ais apr�s avoir �t� simplement le type Panhard.
        Ce type est caract�ris� par les points suivants :
            - Moteur � l'avant
            - Roues en bois
            - Volant de direction
            - Levier de changement de vitesse
            - Position du radiateur
            - Disposition g�n�rale de la transmission
               du mouvement
            - Chassis en bois arm�.

Chacune des �tapes franchies, chacun des progr�s r�alis�s, a re�u sa cons�cration dans les grandes �preuves sportives auxquelles les voitures de la Soci�t� ont pris part.
            1895    Paris - Bordeaux - Paris (endurance)
            1896    Paris - Marseille - Paris (endurance)
            1897    Paris - Dieppe (1er emploi du radiateur)
            1898    Paris - Amstrerdam (direction par volant irr�versible, �quilibrage des moteurs � quatre cylindres)
            1899    Paris - Bordeaux (radiateur � l'avant)
            1899    Tour de France (frein � m�choires sur le diff�rentiel)
            1900    Paris - Toulouse (changement de marche sans d�placement de pignons d'angle)
            1901    Paris - Berlin (moteurs sans joints � la culasse, suspension du m�canisme en trois points)
            1902    Paris - Vienne (moteurs � cylindres en acier extra l�ger, emploi de l'acier au nickel, frein sur roues serrant avant et arri�re).

            Dans toutes ces �preuves la Soci�t� Panhard Levassor s'est efforc�e de conserver la sup�riorit� par la bonne conception et la bonne ex�cution de ses voitures et non par l'emploi de moteurs d'une puissance exag�r�e.
            Parmi les perfectionnements qui ont marqu� chacune des �tapes ci-dessus et dont la plupart ont fait l'objet de brevets pris par la Soci�t� Panhard Levassor (liste g�n�rale en annexe), nous appellerons tout particuli�rement l'attention sur les points suivants :
       La direction irr�versible dont l'emploi est devenu tellement g�n�ral qu'il semble impossible de faire maintenant une voiture automobile qui n'en soit pas munie, aussi bien en France qu'� l'�tranger.
       L'�quilibrage des moteurs � quatre cylindres et � deux cylindres.
       La suspension du m�canisme par trois points (brevet du 14 janvier 1901).
       Le frein � m�choires sur le diff�rentiel qui a �galement constitu� un progr�s faisant �poque (brevet du 16 d�cembre 1898).
       Les moteurs � cylindres en acier (brevet du 23 octobre 1901).

Choix des mat�riaux - m�thodes d'essai

            Pendant que ces dispositions nouvelles �taient cr��es, des perfectionnements constants �taient apport�s dans la fabrication, dans le choix des mat�riaux, la bonne ex�cution du travail et la conception de l'ensemble et des d�tails.
            Les premi�res voitures avaient �t� �tablies dans les conditions ordinaires en usage dans la m�canique ; la puissance des moteurs n'�tant pas alors consid�rable il n'y avait aucune difficult� � r�aliser la transmission du mouvement dans ces conditions.
            La puissance des moteurs devenant plus importante et les conditions de l�g�ret� devant �tre respect�es, on a d� avoir recours � des m�taux plus r�sistants que ceux qu'on emploie habituellement.
            La Soci�t� Panhard et Levassor, apr�s avoir �tudi� avec le plus grand soin les r�sultats donn�s par la trempe des aciers ordinaires, adoptait la premi�re les aciers au nickel pour la fabrication des roues de vitesse et des vilebrequins (la premi�re commande d'acier au nickel, adress�e � la Maison J. Holtzer, remonte au 3 juin 1901).
            Le choix de l'acier, et d'une mani�re plus g�n�rale, des m�taux convenant le mieux � toutes les parties de la voiture, a �t� fait � la suite de nombreux essais de r�sistance et en particulier d'essais au choc, ex�cut�s d'apr�s les m�thodes les plus nouvelles. La Soci�t� Panhard et Levassor a �t� la premi�re (dans l'industrie automobile) � l'employer en essais pour se guider dans le choix des m�taux � employer et pour �tudier le traitement qui convenait � ces m�taux. Nous croyons pouvoir affirmer que personne avant elle n'avait fait usage de ces essais pour �tudier la fragilit� des aciers durs.
            Le service des essais de la Soci�t� comporte, en plus du laboratoire d'essai m�canique, un laboratoire d'essais chimiques.
            La Soci�t� Panhard et Levassor ne concevait l'application d'un moteur de grande puissance � une voiture de course qu'� la condition que ce moteur fut tout particuli�rement l�ger, aussi a-t-elle �t� conduite la premi�re � employer des cylindres en acier forg� avec enveloppe d'eau en laiton.
            Elle a ainsi obtenu des moteurs de 60 chevaux nominaux (70 CV effectifs), pesant seulement 4 kg par cheval effectif et des moteurs de 24 chevaux nominaux (30 CV effectifs), pesant seulement 5 kg par cheval effectif.
            Les moteurs de ce type qui ont eu un si brillant succ�s en 1902 entre Paris et Belfort �taient command�s � la Maison Holtzer, en ce qui concerne les cylindres, d�s le 31 octobre 1901. La construction de ces cylindres fait l'objet d'un brevet d�pos� le 23 octobre 1901.

Nombreux types de voitures r�pondant aux besoins vari�s de la client�le

            En ce qui concerne les types de voitures, la Soci�t� Panhard et Levassor n'a pas craint d'aborder un probl�me d'une extr�me difficult� : constituer, au moyen d'un nombre restreint de pi�ces interchangeables, un nombre consid�rable de types satisfaisant � toutes les demandes.
            Ce r�sultat a �t� obtenu de la fa�on la plus compl�te. L'acheteur qui se pr�sente dans les bureaux de la Soci�t� peut choisir entre des voitures de huit puissances diff�rentes, variant de 5 � 60 chevaux, et pour chacune des puissances, entre 40 solutions parfaitement d�finies et r�pondant � tous les types de carrosseries.
            Nous croyons devoir insister sur ce point, qui constitue l'une des principales forces de la Maison et qui n'a �t� obtenu qu'en apportant dans les �tudes et le travail beaucoup d'ordre et de m�thode.
            L'ex�cution des pi�ces n'a pas �t� moins bien coordonn�e que la conception des types de voiture, l'interchangeabilit� �tant obtenue par l'emploi de machines perfectionn�es munies de montages �tudi�s et �tablis par la soci�t� et assurant la bonne ex�cution ind�pendamment de l'habilet� de l'ouvrier.
           Enfin cette importante fabrication (actuellement 120 voitures par mois) est contr�l�e par un service de v�rification sp�cial compl�tement ind�pendant de l'atelier et auquel chaque pi�ce est soumise apr�s chaque �tape de formation subie.

Nouveaut�s pr�sentes au Salon de 1902

            Les nouveaut�s pr�sent�es par la Soci�t� Panhard et Levassor au Salon de 1902 sont d�crites succintement dans la note A et les dessins qui y sont joints.
            Nous nous permettons cependant d'attirer l'attention du Jury sur les points suivants :
            Nous consid�rons que le carburateur automatique constitue une am�lioration extr�mement importante et tout � fait nouvelle. Depuis que nous avons r�alis� cet appareil et appel� le public � constater la fa�on dont il fonctionne, on nous a signal� de nombreux efforts d�j� faits en vue d'obtenir le m�me r�sultat. L'existence de ces diff�rents essais ne nous surprend nullement car nous avions nous-m�me fait ant�rieurement des essais analogues qui n'avaient pas eu de suite, les r�sultats n'�tant pas plus concluants que ceux obtenus par nos concurrents. La raison en est que la solution entrevue ne pouvait �tre r�alis�e qu'� la suite d'une �tude absolument compl�te et rationnelle des ph�nom�nes tr�s d�licats qui se produisent dans le carburateur pendant les changements d'allure du moteur. Cette �tude fait l'objet de la note B, pr�sent�e � l'Acad�mie des Sciences dans la s�ance du 22 novembre 1902.
            Les exp�riences auquelles le public peut assister journellement au grand Palais, depuis l'ouverture de l'Exposition, prouvent surabondamment que le r�sultat est obtenu.

Importance de la Soci�t� Panhard et Levassor

            Les bonnes traditions de travail et de loyaut� de la Soci�t� Panhard et Levassor lui ont attir� les sympathies d'une nombreuse client�le ; aussi son chiffre d'affaires s'�l�ve-t-il annuellement � plus de quatorze millions de francs. Les affaires qu'elle fait avec l'�tranger peuvent �tre �valu�es � un tiers de son chiffre d'affaires.
            La Maison a construit actuellement plus de cinq mille voitures et voit revenir p�riodiquement dans ses ateliers de r�paration les plus anciennes voitures sorties de ses ateliers. Toutes ces voitures font un service r�gulier et ont conserv� une valeur marchande, c'est l� une r�clame pour ainsi dire vivante qui la dispense d'en faire d'autres.
            Ainsi la Soci�t� vient-elle d'�tre oblig�e de construire, � proximit� de ses ateliers de construction, des ateliers de r�paration qui occupent une superficie de 7000 m�. Ateliers qui sont l'objet de la plus grande sollicitude car c'est l� que les dispositions nouvelles sont jug�es en dernier ressort. C'est l� aussi qu'on trouve souvent l'inspiration de dispositions � adopter pour l'avenir.

            La Soci�t� construit aussi des moteurs fixes pour groupes �lectrog�nes aux usages divers et des bateaux actionn�s par ses moteurs. Elle a remport� dans cette branche d'industrie de nombreux succ�s.
            Enfin elle fait aussi l'application de ses moteurs au mat�riel l�ger pour chemins de fer.
            La Soci�t� continue d'ailleurs la fabrication des machines � bois et des lames de scies.
 

Brevets principaux pris par la Soci�t� Anonyme des Anciens �tablissements Panhard Levassor

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21 d�cembre 1897
Perfectionnement aux embrayages par l'introduction sous les l�vres de cuir de ressorts faisant varier progressivement l'effort d'entra�nement.

16 d�cembre 1898
Moteur � p�trole avec r�glage sur l'admission par le moyen d'un boisseau ou d'une valve command� par le r�gulateur.

11 novembre 1899
Changement de vitesse et de marche supprimant le d�placement des engrenanges coniques employ�s jusqu'alors pour obtenir la marche avant ou arri�re.

5 mai 1900
Pompe rotative de petite dimension � grand d�bit avec dispositif pour r�cup�rer une grande partie de la force vive.

7 juillet 1900
Syst�me de r�gulateur de vitesse agissant sur l'admission par �tranglement des gaz aspir�s et proportionnant la puissance des coups de piston � la r�sistance de la voiture.

21 juillet 1900
Moteur � explosion d�nomm� "Centaure" avec r�glage sur l'admission. Tous les organes tr�s simplifi�s de ce moteur sont enferm�s dans un carter sauf le r�gulateur.

14 d�cembre 1900
Syst�me d'embrayage � c�ne avec tores d'entra�nement supprimant le glissement longitudinal sur l'arbre command�. Cette disposition r�duit dans une tr�s large proportion l'effort n�cessaire pour produire l'embrayage.

8 janvier 1901
Syst�me d'�quilibrage des moteurs � deux cylindres. Le proc�d� consiste � cr�er un couple d'inertie �gal et contraire au couple produit par l'ensemble des bielles et manivelles. La formule �tablie dans la description du brevet donne la solution g�n�rale. Dans le cas particulier, le couple antagoniste est cr�� en partie par suppression de masse et donne la solution la plus l�g�re.

14 janvier 1901
Suspension par trois points. Cette disposition soustrait le m�canisme aux d�formations �lastiques que subit toujours le ch�ssis de la voiture pendant le roulement ; elle supprime deux articulations et diminue les frottements de 8 � 10%.

23 octobre 1901
Perfectionnements aux moteurs "Centaure" pour obtenir des moteurs l�gers. Emploi des cylindres en acier avec enveloppes d'eau rapport�es, etc.

16 novembre 1901
Appareil de distribution du courant primaire pour l'allumage �lectrique. Les contacts sont obtenus au moyen de balais m�talliques enferm�s dans une bo�te et compl�tement � l'abri de la pluie, de la boue et de la poussi�re.

22 f�vrier 1902
Freins m�talliques pour roues d'arri�re fonctionnant dans les deux sens de marche.

24 f�vrier 1902
Syst�me de graissage par pompe actionn�e par les gaz d'�chappement supprimant tout m�canisme reliant la pompe au moteur.

26 mars 1902
Syst�me d'essieu et de ressort pour avant-train de v�hicules automobiles.

25 juin 1902
Soupapes d'aspiration command�es par cames extensibles permettant de r�gler � volont� le volume aspir� par les cylindres et par suite de ne conserver de compression que ce qu'il faut pour permettre l'allumage. La mise en route d'un moteur puissant est ainsi rendue tr�s facile.

Carburateur automatique (voir notes A et B).

Radiateur � courant d'ai forc� et r�servoir r�duit (note A).

Nouvel appareil de graissage (note A).

Appareil de contr�le de la vitesse des moteurs (note A).
 


 
 

Science Museum de Londres : restauration d'une PL anglaise 1895 
Une PL anglaise 1895
  
  
  
 
  
  
  
  
 
Tableau de bord 1901
Tableau de bord 1901
Tableau de bord 1901
  
  
  
  
    
  
  
  
 
Le manuel de l'automobiliste 1919 
  Le manuel de l'automobiliste 1919
    
  
  
  
  
  
  
  
  
 
Krebs aux États-Unis pour l'affaire Selden 1906 
  Krebs aux �tats-Unis pour l'affaire Selden en 1906
  
  
  
  
    
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 
Panhard et Levassor anglaise 1901 
  Panhard et Levassor anglaise 1901
  
  
  
    
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 
Visite aux usines Panhard 1901 
  Visite aux usines Panhard 1901
  
    
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 
P&L : La stratégie commerciale 
La strat�gie commerciale  
  
  
 
  
  
  
  
  
 
Bouchon de radiateur PL : Rien ne sert de courir ... 
Rien ne sert de courir ...  
  
  
  
  
  
 
PL Conduite intérieure 1904 
Conduite int�rieure 1904  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 
Conduite intérieure 1908 
Conduite int�rieure 1908  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 
Georges FEYDEAU - Le circuit 1909 
 Georges FEYDEAU
"Le circuit" 1909 
  
  
   
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 
Les communications à l'Académie des Sciences 
Les communications � l'Acad�mie des Sciences  
  
  
  
 
  
  
  
  
  
  
 
PL : Le moteur d'avion de Krebs 
  Le moteur d'avion de Krebs
  1910
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 
Coupé de ville PL 1914 
  Coup� de ville 1914
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 
Panhard et l'armée
Panhard et l'arm�e











 

 

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